Vecam

Présentation de Claire Brossaud

2010-01-30T11:58:00Z

Après avoir été journaliste, Claire Brossaud s'est intéressée en tant que sociologue aux usages numériques appliqués à la ville, à l'environnement et aux sciences humaines et sociales.

Elle a rejoint le projet associatif de VECAM au début des années 2000 sur des questions d'appropriations citoyennes des technologies. Impliquée plus particulièrement dans les actions autour du Forum social mondial "Sciences et Démocratie" et dans le Réseau francophone autour des "Biens Communs", elle contribue par ailleurs bénévolement au fonctionnement de l'association.

Elle a publiée plusieurs ouvrages et publications sur les enjeux politiques et sociaux de la société de la connaissance parmi lesquels Digital Cognitive Technologies : Epistemology and knowledge economy (avec B. Reber, Iste-Wiley, 2010).

Elle coordonne aujourd'hui des projets de recherche en innovations sociales et numériques au sein de l'Université de Lyon.

Présentation de Valérie Peugeot

2007-02-27T13:13:00Z

Valérie Peugeot

Après avoir été permanente de l'association pendant 7 ans, elle poursuit son activité auprès de Vecam comme bénévole. Elle en assure actuellement la présidence.

Elle est également membre du Conseil d'administration de Batik International et de la Fonda, et du Comité éditorial de Paris Tech Review.

Depuis janvier 2013, elle participe aux travaux du Conseil National du Numérique, en tant que vice présidente en charge de questions de transition numérique et de société de la connaissance.

Professionnellement, elle travaille à Orange Labs, où elle porte des projets de prospective, au sein du laboratoire de sciences humaines et sociales.

Précédemment elle a travaillé successivement au parlement européen, et dans différents think tanks autour des enjeux de politique européenne et de mondialisation avant de rejoindre Sofrecom, filiale d'Orange.

Elle a une formation en droit et en sciences politiques.

Présentation de Pascal Renaud

2003-08-18T08:36:21Z

Informaticien de profession, je m'intéresse aux micro-ordinateurs et aux réseaux depuis la fin des années 70. En 1985 j'entre à l'Orstom (aujourd'hui renommé IRD Institut de Recherche pour le développement) et je pilote la mise en place d'un réseau informatique entre les différents établissements de l'Institut, en France tout d'abord, puis en Afrique francophone et dans les DOM TOM.

Ce projet - qui a pris le nom de RIO pour Réseau Intertropical d'Ordinateurs – visait tout d'abord le déploiement d'une infrastructure informatique interconnectée sur le plan international. Il va prendre une dimension plus politique lorsque les organismes de recherche africains et les ONG internationales y seront associés et qu'il contribuera à la préparation du Sommet de la Terre en 1992.

Le réseau RIO s'est progressivement étendu sur la majorité des pays d'Afrique francophone, réunissant une centaine d'organismes en 1995. Ce résultat m'a convaincu que l'internet pouvait jouer un rôle essentiel dans les processus de développement comme dans la construction d'États démocratiques. J'ai donc cherché à poursuivre mon action en me plaçant dans un cadre plus international. Le cadre bilatéral était d'autant plus étroit que les autorités françaises, à cette époque, exprimaient une position pour le moins réservée.

J'ai eu la chance d'être accueilli en septembre 1995, par l'UNITAR (United Nations Institute for Training and Research). Cette agence de l'ONU située à Genève est spécialisée dans la formation des cadres des pays en développement. L'UNITAR m'a permis de lancer un nouveau programme : société de l'information & développement.

Enfin, après une petite décennie de séminaire de formation (capacity building seminars) et d'aide à la formulation de plan d'action nationaux (action plan) et après avoir piloté l'intervention de l'UNITAR au Sommet mondial sur la société de l'information (SMSI), j'ai souhaité retourner à l'IRD pour participer à l'Unité de Recherche savoirs et développement et engager une réflexion sur TIC et développement. Il s'agira notamment d'observer l'impact des TIC sur les processus de formation, de transmission et d'acquisition des connaissances, comme sur les transformations politiques et sociales qu'impose l'usage croissant d'ordinateurs en réseau.

C'est pour favoriser la convergence des travaux sur ces questions que nous avons créé un site coopératif, de réflexion et de débat sur TIC & Développement.

Décembre 2006

Présentation de Michel Briand

Michel Briand — 2003-08-05T15:49:43Z

Militant associatif (en particulier contre les marées noires en Bretagne) : puis élu local (adjoint au maire de Brest en charge de la démocratie locale, la citoyennete et les nouvelles technologies en 1996 et 2001) je suis convaincu de
l'importance d'une appropriation sociale des TIC
la nécessité de relier pratique sur des territoires et réflexion,
d'articuler innovation, observation, évaluation, mutualisation et débat ouvert.

Articles de présentation des actions engagées

Les Technologies de l'information et de la communication sont un outil à l'accès fort inégal. Pour contribuer à réduire les exclusions des personnes les plus éloignées j'ai participé à la création du réseau CRéATIF en m'appuyant sur les Papi Brestois et le travail au sein de l'OTV.

Les outils de l'internet rendent possible un travail en réseau, participatif c'est le sens donné au groupe de travail municipal « citoyenneté et nouvelles technologies », creuset des initiatives brestoises (forum et portail des associations, appel à projet, réseau des écoles brestoises, ..)

Après l'accès public, l'écrit public, la couverture équitable des territoires et l'information bien public sont pour moi les enjeux majeurs des sociétés de l'information. Le croisement des réalisations locales, la mutualisation lors de rencontres à différentes échelles de territoires (pays , région,.. ) les groupes de travail et associations (OTV, Avicam, Vecam, Megalis Créatif, Villes internet, Webtrotteurs, Fondation de France, OUI, EGEP, MAPI ...) sont facteur de créativité, de diffusion, d'inflexion des politiques.

A l'opposé des positions de pouvoir, un fonctionnement ouvert à l'initiative, la créativité, au débat, à la participation donne sens et écho aux réalisations locales, crée du bien commun.

C'est le sens de mon engagement dans le réseau I3C de l'internet créatif, coopératif et citoyen, riche de relations humaines souvent amicales et conviviales.

Expérimenter des vies en société participatives est aussi un moyen d'interpeller et de faire évoluer notre démocratie représentative, les pouvoirs, économiques, institutionnels et associatifs.

Professionnellement je suis directeur adjoint de la formation dans une école d'ingénieurs, l'ENST de Bretagne du Groupe des Ecoles des Télécommunications.

Responsabilités et animations

Elu en charge du groupe Technologies de l'Information et de la Communication au sein de l'association du pays de Brest

Vice Président du syndicat mixte Mégalis, président de la commission usages

Président de Créatif, collectif des réseaux d'accès public

vice président de l'AVICAM association des villes câblées et multimédia, responsable de la commission portails locaux et usages,

animateur du réseau francophone Ecrit-public

organisateur du forum des usages coopératifs, Brest 2004

Participant aux réseaux et associations

Adullact,

Appel à projet de la Fondation de France,

Apronet,

rencontres d'Autrans,

Fing,

horizon21 et LocalgiX

villes-internet,

Marsouin, laboratoire des usages en Bretagne

Vecam

...

et dans un passé récent, membre de la mission à l'accès public et responsable du groupe vie dans la cité de l'Observatoire des télécommunications dans la ville