Vecam http://www.vecam.org/ Réflexion et action pour l'internet citoyen fr SPIP - www.spip.net Vecam http://vecam.org/local/cache-vignettes/L144xH41/siteon0-dd267.png http://www.vecam.org/ 41 144 Consultation ouverte du Forum 2010 du SMSI : appel à participation http://vecam.org/article1142.html http://vecam.org/article1142.html 2010-01-22T08:47:39Z text/html fr Solidarité internationale vecam-F Monde L'UNESCO appelle à participer au processus du SMSI. Voici les informations pour participer à ce processus. Pour plus d'information voir sur le site de l'UNESCO Aux côtés de l'UIT, de la CNUCED et du PNUD, l'UNESCO organise une consultation ouverte pour préparer le Forum 2010 du Sommet mondial sur la société de l'information (SMSI). Toutes les personnes physiques, les réseaux et les organisations concernés par la question sont invités à participer à ce processus composé de trois volets : une discussion (...) - <a href="http://vecam.org/rubrique57.html" rel="directory">Actualités</a> / <a href="http://vecam.org/mot29.html" rel="tag">Solidarité internationale</a>, <a href="http://vecam.org/mot49.html" rel="tag">vecam-F</a>, <a href="http://vecam.org/mot61.html" rel="tag">Monde</a> <div class='rss_chapo'><p>L'UNESCO appelle à participer au processus du SMSI. Voici les informations pour participer à ce processus.</p> <p>Pour plus d'information voir sur le <a href="http://portal.unesco.org/ci/fr/ev.php-URL_ID=29434&URL_DO=DO_TOPIC&URL_SECTION=201.html" class='spip_out' rel='external'>site de l'UNESCO</a></p> </h3></div> <div class='rss_texte'><p>Aux côtés de l'UIT, de la CNUCED et du PNUD, l'UNESCO organise une consultation ouverte pour préparer le Forum 2010 du Sommet mondial sur la société de l'information (SMSI). Toutes les personnes physiques, les réseaux et les organisations concernés par la question sont invités à participer à ce processus composé de trois volets : une discussion en ligne, un questionnaire et une réunion de révision.</p> <p>L'année 2010 marque un tournant dans la réalisation des objectifs du SMSI à l'horizon 2015. Le Forum de cette année, qui se tiendra du 10 au 14 mai 2010 à Genève (Suisse), sera l'occasion de passer en revue les progrès réalisés dans la mise en œuvre du SMSI au cours des cinq dernières années et de revoir les stratégies pour les cinq prochaines années.</p> <p>Après les résultats de la réunion des coordonnateurs des grandes orientations du SMSI du 22 mai 2009 ainsi que différents échanges entre les parties prenantes, il a été décidé d'organiser une consultation ouverte portant sur les thèmes du Forum 2010.</p> <h3 class="spip">Le processus se déroulera en trois temps</h3> <p><img src="http://vecam.org/local/cache-vignettes/L8xH11/puce-1d287.gif" width='8' height='11' class='puce' alt="-" style='height:11px;width:8px;' /> Une consultation multipartite se tient en ligne jusqu'au 24 janvier sur la plate-forme de la communauté du SMSI. Toutes les parties prenantes sont invitées à s'exprimer et échanger des idées pour déterminer les thèmes et intervenants éventuels du Forum 2010. <br /><img src="http://vecam.org/local/cache-vignettes/L8xH11/puce-1d287.gif" width='8' height='11' class='puce' alt="-" style='height:11px;width:8px;' /> Les parties prenantes peuvent également faire part de leur contribution officielle, avant le 5 février, en répondant au questionnaire en ligne ou en envoyant un message à : wsis@itu.int. <br /><img src="http://vecam.org/local/cache-vignettes/L8xH11/puce-1d287.gif" width='8' height='11' class='puce' alt="-" style='height:11px;width:8px;' /> Toutes les idées et commentaires seront examinés lors de la réunion finale de révision, qui se tiendra le 10 février au siège de l'UIT à Genève. Pour vous inscrire à cette réunion, veuillez cliquer ici. Vous pourrez également participer à distance à la réunion grâce au webcast, dont le lien sera très prochainement disponible sur le site du Forum.</p> <p>Le Forum du SMSI s'inscrit dans la tradition des réunions annuelles du SMSI du mois de mai avec quelques changements, dont un nouveau format défini l'année dernière à l'issue des consultations ouvertes avec toutes les parties prenantes du SMSI. Le Forum 2009 avait réuni plus de 400 participants représentant les gouvernements, la société civile, les ONG, le secteur privé et les organisations intergouvernementales du monde entier.</p> <p>Les informations complètes sur le processus préparatoire sont disponibles sur le site officiel du Forum 2010 du SMSI. Saisissez cette occasion pour faire part de vos idées et contribuer à préparer l'ordre du jour du Forum.</p></div> Avez-vous le droit au savoir en ligne ? Un rapport montre que l'internet ouvert est menacé http://vecam.org/article1127.html http://vecam.org/article1127.html 2009-11-16T07:54:07Z text/html fr Frédéric Sultan Creative Commons Acces aux technologies de l'information et de la communication vecam-F Monde Revue-reseau-TIC JOHANNESBURG, Afrique du Sud , 16 novembre 2009 – Un nouveau rapport, qui révèle à quel point l'internet tel que nous le connaissons est vulnérable, vient d'être publié par deux organisations de la société civile mondiale. Le rapport annuel intitulé, Global Information Society Watch (GISWatch), a été publié aujourd'hui par l'Association pour le Progrès des Communications et le bailleur de fonds néerlandais Hivos. GISWatch 2009 est intitulé L'accès à l'information et au savoir en ligne – faire progresser les (...) - <a href="http://vecam.org/rubrique2.html" rel="directory">Articles / Publications</a> / <a href="http://vecam.org/mot17.html" rel="tag">Creative Commons</a>, <a href="http://vecam.org/mot27.html" rel="tag">Acces aux technologies de l'information et de la communication</a>, <a href="http://vecam.org/mot49.html" rel="tag">vecam-F</a>, <a href="http://vecam.org/mot61.html" rel="tag">Monde</a>, <a href="http://vecam.org/mot68.html" rel="tag">Revue-reseau-TIC</a> <div class='rss_chapo'><p>JOHANNESBURG, Afrique du Sud , 16 novembre 2009 – Un nouveau rapport, qui révèle à quel point l'internet tel que nous le connaissons est vulnérable, vient d'être publié par deux organisations de la société civile mondiale.</p></div> <div class='rss_texte'><p>Le rapport annuel intitulé, Global Information Society Watch (GISWatch), a été publié aujourd'hui par l'Association pour le Progrès des Communications et le bailleur de fonds néerlandais Hivos. GISWatch 2009 est intitulé <strong>L'accès à l'information et au savoir en ligne – faire progresser les droits humains et la démocratie.</strong></p> <p>Il montre que pour accéder à l'information et au savoir en ligne, il ne suffit pas d'être en mesure d'allumer son ordinateur, et que rien ne garantit que la richesse de l'information disponible sur l'internet aujourd'hui perdurera demain. Que ce soit par de nouvelles lois destinées à contrôler le contenu en ligne, le blocage des sites web ou des lois restrictives sur les droits d'auteur qui empêchent les pays pauvres et les personnes handicapées d'accéder à l'information, ce qui était jusqu'ici un espace libre et ouvert de partage du savoir est en train de se refermer de bien des façons. Comme un auteur le dit, la société de l'information implique « une lutte constante entre les forces de l'autoritarisme et la démocratisation ».</p> <h3 class="spip">Les principaux enjeux</h3> <p>Les facteurs importants qui influent sur l'accès à l'information et au savoir en ligne sont révélés dans le rapport, notamment les débats sur les droits de propriété intellectuelle, les droits au savoir, les normes ouvertes et l'accès aux ressources pédagogiques et aux bibliothèques.</p> <p>Le rapport présente également un examen des institutions et une réflexion sur les indicateurs de l'accès à l'information et au savoir. Quarante-huit rapports pays – dix de plus que l'an dernier – analysent la situation de l'accès à l'information et au savoir en ligne dans des pays aussi différents que la République démocratique du Congo, l'Égypte, le Mexique, la Suisse et le Kazakhstan, tandis que les rapports régionaux donnent une vue d'ensemble des tendances régionales en Amérique du Nord, en Amérique latine et les Caraïbes, en Afrique, au Moyen-Orient, en Asie du Sud et en Europe.</p> <h3 class="spip">Cartographie des droits : « droits culturels » au Mexique, « droits des victimes de la pollution » en Suisse, « droits des surendettés » en Côte d'Ivoire</h3> <p>Pour la première fois cette année, on trouve une section qui cartographie visuellement les droits dans le monde grâce aux recherches dans Google, ainsi qu'une analyse visuelle des messages Twitter envoyés pendant la dernière crise politique en Iran. Les deux projets de recherche présentés sont des tentatives d'études sur le web où l'outil utilisé fait partie de l'analyse, donnant ainsi des résultats fascinants.</p> <p>Par exemple, si l'on se fie aux résultats des recherches dans Google, on pourrait dire que les pays ont des préoccupations très différentes en ce qui concerne les droits : les « droits culturels » au Mexique, les « droits des victimes de la pollution » en Suisse, le « droit à l'éducation dans un langage des signes autochtone » en Finlande ou les « droits des surendettés » en Côte d'Ivoire</p> <h3 class="spip">Il faut rester vigilant : l'internet ouvert se referme tranquillement </h3> <p>« L'intérêt d'une publication comme celle-ci – illuminer les zones moins claires, faire ressortir les différences, les domaines de difficultés et de changements – est de nouveau mis en lumière dans les rapports réunis ici », a indiqué le rédacteur en chef de GISWatch, Alan Finlay. « Tout le monde ne profite pas de la société de l'information ouverte. Et pour ceux qui en profitent, cela devient de plus en plus relatif. Dans bien des cas, les auteurs ont fait preuve de beaucoup de courage en écrivant leur article, compte tenu du contexte répressif dans lequel ils travaillent ».</p> <p>Ironiquement, le monde de l'accès à l'information en ligne comporte lui-même des obstacles au savoir : il existe des poches de spécialisation au-delà des discussions au quotidien de la plupart des gens, ce qui signifie que des droits fondamentaux comme la liberté d'expression, le droit de participer et la liberté d'apprendre et de savoir sont rarement abordés dans les médias de masse.</p> <p>GISWatch 2009 vise à démystifier cet environnement, tout en mettant en garde ceux qui pensent que leur droit à l'accès et à l'utilisation du contenu qu'ils trouvent sur l'internet est assuré pour toujours.</p> <p>Global Information Society Watch 2009, publié en version imprimée et en ligne par l'Association pour le Progrès des Communications (APC) et l'organisation de développement néerlandaise Hivos, recueille les perspectives des spécialistes, analystes et activistes des TIC et des organisations de la société civile dans le monde entier.</p> <p>Le rapport sera lancé au Forum sur la gouvernance de l'internet qui se déroulera en Égypte le lundi 16 novembre.</p> <h3 class="spip">En réponse à la nouvelle publication de GISWatch 2009, plusieurs commentateurs éminents ont fait les observations suivantes :</h3> <p> « Le Global Information Society Watch a entrepris la tâche difficile et extrêmement importante d'aborder les questions convergentes de la liberté d'expression, de l'accès au savoir et à l'information et des droits numériques dans un contexte mondial et comparatif. Le rapport est une ressource particulièrement utile pour surveiller ces développements et pour réfléchir aux moyens de formuler les programmes sur les droits pour la société de l'information aux niveaux national et international. Bon nombre de ces questions sont au premier plan dans les débats sur les politiques depuis dix ans, mais les chercheurs, les défenseurs des droits et les décideurs ne disposaient pas d'un cadre permettant d'en faire une représentation et de les comparer au niveau mondial. Il en ont un désormais ». <br /><strong>Joe Karaganis, Social Science Research Council</strong></p> <p>« J'aime particulièrement la section sur les mesures. Sans de bons indicateurs et indices, comment peut-on mesurer le progrès ? L'économie du savoir a besoin d'indices à la fois qualitatifs et quantitatifs. Il est particulièrement intéressant de donner une place centrale aux droits humains et au développement humain. Cela donne une « âme » aux mesures. Il s'agit selon moi de la publication la plus équilibrée sur l'accès à l'information depuis le SMSI ». <br /><strong>Buhle Mbambo-Thata, directeur exécutif, University of South Africa (UNISA), Services des bibliothèques </strong></p> <p>Le rapport est présentement seulement disponible en anglais mais sera publié en français l'année prochaine.</p> <h3 class="spip">Rapports pays dans GISWatch 2009</h3> <p>Afrique (16) : Algérie, Cameroun, République démocratique du Congo, République du Congo, Égypte, Éthiopie, Kenya, Maroc, Namibie, Nigeria, Rwanda, Afrique du Sud, Tunisie, Ouganda, Zambie, Zimbabwe <br />Amériques (10) : Argentine, Brésil, Chili, Colombie, Costa-Rica, Jamaïque, Mexique, Paraguay, Pérou, Uruguay <br />Asie-Pacifique et Moyen-Orient (15) : Bangladesh, Inde, Iraq, Japon, Jordanie, Kazakhstan, République de Corée, Kirghizistan, Territoire palestinien occupé, Pakistan, Philippines, Arabie Saoudite, Syrie, Tadjikistan, Ouzbékistan <br />Europe (7) : Bosnie-Herzégovine, Bulgarie, Croatie, Pays-Bas, Roumanie, Espagne, Suisse</p> <h3 class="spip">Pour en savoir plus, veuillez communiquer avec Alan Finlay</h3> <p>Rédacteur en chef de GISWatch <br />alan@openresearch.co.za <br />Id Skype : Alan_Finlay <br />Johannesburg, Afrique du Sud <br />Des interviews peuvent être organisés avec les auteurs. <br /><a href="http://www.GISWatch.org/" class='spip_url spip_out' rel='nofollow external'>www.GISWatch.org</a></p></div> Appel à communications "Penser la fracture numérique" http://vecam.org/article1057.html http://vecam.org/article1057.html 2008-07-08T03:11:14Z text/html fr Veille Vecam Creative Commons Acces aux technologies de l'information et de la communication Solidarité internationale Appropriation des outils Monde Le numérique fait figure de paradigme technologique majeur pénétrant toutes les activités humaines et conduit à repenser aussi bien les systèmes techniques que les systèmes sociaux. L'objectif premier de la revue « Les Cahiers du numérique » , au travers de ses numéros thématiques, est la mise à disposition d'un corpus précis sur les fondements techniques et sociaux de ces évolutions. Numéro thématique coordonné par Alain KIYINDOU La notion de « fracture numérique » placée au centre des stratégies de « (...) - <a href="http://vecam.org/rubrique57.html" rel="directory">Actualités</a> / <a href="http://vecam.org/mot17.html" rel="tag">Creative Commons</a>, <a href="http://vecam.org/mot27.html" rel="tag">Acces aux technologies de l'information et de la communication</a>, <a href="http://vecam.org/mot29.html" rel="tag">Solidarité internationale</a>, <a href="http://vecam.org/mot40.html" rel="tag">Appropriation des outils</a>, <a href="http://vecam.org/mot61.html" rel="tag">Monde</a> <div class='rss_chapo'><p>Le numérique fait figure de paradigme technologique majeur pénétrant toutes les activités humaines et conduit à repenser aussi bien les systèmes techniques que les systèmes sociaux. L'objectif premier de la revue « Les Cahiers du numérique » <a href="http://lcn.e-revues.com/" class='spip_url spip_out' rel='external'>http://lcn.e-revues.com</a>, au travers de ses numéros thématiques, est la mise à disposition d'un corpus précis sur les fondements techniques et sociaux de ces évolutions.</p></div> <div class='rss_texte'><p><i>Numéro thématique coordonné par Alain KIYINDOU</i></p> <p>La notion de « fracture numérique » placée au centre des stratégies de « e-inclusion » est à la fois complexe et controversée. L' « e-inclusion » telle qu'elle nous est proposée consisterait à établir des passerelles (digital bridges) qui relieraient les différents territoires avec l'idée de développer un monde uni, dans lequel toutes les contrées seraient connectées par des autoroutes (de l'information) à haut débit. Cette « réconciliation de la grande famille humaine », nous ramène à la pensée de Marshall Mac Luhan souvent contredite par le fait que la société est un ensemble multiforme qui ne peut être réduite au simple fait technologique.</p> <p>L'objectif de ce numéro est de mettre en débat la notion de « fracture numérique », de questionner les enjeux techniques, politiques, économiques, sociaux et culturels liés et d'envisager quelques pistes afin de mettre en œuvre de réelles solidarités entre les femmes et les hommes, les jeunes et les moins jeunes, les pauvres et les nantis, les alphabètes et les autres… Elle renvoie incontestablement à l'accessibilité, à l'égalité des genres, au contrôle des réseaux, à la présence des contenus différenciés et à leur visibilité dans le cyberespace…</p> <p>L'étude de la fracture peut, ainsi, s'appuyer sur un certain nombre d'indicateurs dont les contenus, les capacités et la connectivité. Elle concerne les disparités dans l'accès, l'usage et la maîtrise des technologies de l'information et de la communication et pourrait s'appuyer sur l'Internet, la téléphonie mobile, le GPS, la télévision numérique…</p> <p>Les politiques publiques de réduction de la « fracture numérique » visent à ce que les femmes et les hommes, quel que soit leur statut ou leur lieu d'habitation puissent avoir les mêmes chances de tirer profit des opportunités offertes par les technologies de l'information et de la communication. Mais, en l'absence des dispositions et des mesures particulières, il est facile de constater les inégalités sexospécifiques ou « tribales » observées dans les autres domaines ainsi que dans des processus d'introduction d'innovations.</p> <p>La fracture numérique est aussi, et avant tout, une fracture énergétique, sociale et/ou économique. Fracture culturelle et fracture cognitive apparaissent en lien avec la présence de contenus diversifiés, dans la droite ligne de la Convention sur la protection de la diversité culturelle et linguistique, voire du Nouvel ordre mondial de l'information et de la communication. En effet, l'importance des télécommunications internationales dans une région n'est plus le seul indicateur du degré d'intégration ou d'extraversion de celle-ci. Il y a aussi l'importance de la participation culturelle locale.</p> <p>Mais si la plupart des chercheurs s'accordent sur la présence d'une fracture, mettre l'accent sur sa réduction ne dénoterait-il pas d'une orientation idéologique ?</p> <p>C'est ainsi que la notion d'« opportunité numérique » est parfois préférée à celle de fracture, jugée à tort ou à raison trop techniciste.</p> <p>Toutes ces questions ne peuvent être dissociées du rôle de l'Etat ou plutôt des politiques publiques, des organisations non gouvernementales et des entreprises privées. Des politiques innovantes ou des actions concertées et institutionnalisées, comme l'ordinateur à l00 dollars, le Fonds de solidarité numérique, le programme ADEN ou le projet Leland deviennent ainsi, des objets d'étude intéressants.</p> <p>Mais peut-on réellement réduire la fracture sans se préoccuper de la gouvernance ?</p> <p>En effet, au-delà de l'accessibilité, des usages, des contenus, la société de l'information met en exergue une fracture décisionnelle en lien avec le choix des normes et standards, ainsi que le contrôle d'Internet.</p> <p><strong></p> <p>Modalités pratiques</strong></p> <p><img src="http://vecam.org/local/cache-vignettes/L8xH11/puce-1d287.gif" width='8' height='11' class='puce' alt="-" style='height:11px;width:8px;' /> Envoi des propositions d'articles (6000 caractères, espace non compris, plan et références bibliographiques non compris) :</p> <p>20 juillet à l'adresse suivante : fracture_numerique@yahoo.fr</p> <p>Merci d'indiquer prénom et nom, institution d'attache, adresse électronique, titre de l'article,</p> <p>3 à 5 mots clefs.</p> <p>Les contributions (20 pages environs) devront impérativement respecter la feuille de style de la revue (<a href="http://lcn.e-revues.com/revues/23/ConsignesLCN2005.doc" class='spip_url spip_out' rel='nofollow external'>http://lcn.e-revues.com/revues/23/C...</a>)</p> <p>Les propositions soumises seront évaluées en double aveugle.</p> <p><img src="http://vecam.org/local/cache-vignettes/L8xH11/puce-1d287.gif" width='8' height='11' class='puce' alt="-" style='height:11px;width:8px;' /> Notification aux auteurs : 20 Septembre 2008.</p> <p><img src="http://vecam.org/local/cache-vignettes/L8xH11/puce-1d287.gif" width='8' height='11' class='puce' alt="-" style='height:11px;width:8px;' /> Remise des textes : 15 décembre 2008.</p></div> <div class='rss_ps'><p>L'adresse originale de cet article est <a href="http://www.a-brest.net/article4022.html" class='spip_out' rel='external'>http://www.a-brest.net/article4022.html</a></p></div> Charte des droits de l'Internet d'APC http://vecam.org/article969.html http://vecam.org/article969.html 2006-12-15T21:18:13Z text/html fr Frédéric Sultan Démocratie Creative Commons Droits et libertés numériques vecam-F Monde APC (Association for Progressive Communication) a mis à jour sa charte des droits de l'internet élaborée pour la première fois en 2001-2002 par les membres et les organisations partenaires d'APC, lors d'ateliers sur les « Droits de l'internet » qui se sont déroulés en Europe, en Asie, en Amérique latine et en Afrique. La version révisée vise essentiellement à intégrer des aspects sur la gouvernance d'internet et la compréhension de l'internet comme bien public global. « L'internet ne peut être un outil de (...) - <a href="http://vecam.org/rubrique82.html" rel="directory">Contributions à débattre</a> / <a href="http://vecam.org/mot11.html" rel="tag">Démocratie</a>, <a href="http://vecam.org/mot17.html" rel="tag">Creative Commons</a>, <a href="http://vecam.org/mot20.html" rel="tag">Droits et libertés numériques</a>, <a href="http://vecam.org/mot49.html" rel="tag">vecam-F</a>, <a href="http://vecam.org/mot61.html" rel="tag">Monde</a> <div class='rss_texte'><p>APC (Association for Progressive Communication) a mis à jour sa charte des droits de l'internet élaborée pour la première fois en 2001-2002 par les membres et les organisations partenaires d'APC, lors d'ateliers sur les « Droits de l'internet » qui se sont déroulés en Europe, en Asie, en Amérique latine et en Afrique. La version révisée vise essentiellement à intégrer des aspects sur la gouvernance d'internet et la compréhension de l'internet comme bien public global.</p> <p>« L'internet ne peut être un outil de renforcement des capacités pour toutes les populations que si les droits suivants sont reconnus, protégés et respectés », réaffirme l'association dans cette nouvelle charte des droits de l'internet.</p> <p>La charte est divisée en 7 chapitres : <BR/> Thème 1 Accès à l'internet pour tous<BR/> Thème 2 Liberté d'expression et d'association<BR/> Thème 3 Accès au savoir<BR/> Thème 4 Apprentissage et création partagés - logiciels libres et de source <BR/> ouverte et développement des technologies<BR/> Thème 5 Vie privée, surveillance et chiffrement<BR/> Thème 6 Gouvernance de l'internet<BR/> Thème 7 Sensibilisation, protection et réalisation des droits <BR/></p> <p>Une référence essentielle pour toute personne cherchant à assurer la liberté sur internet, l'indépendance de l'internet et « l'accès pour tous » à l'internet, autant au plan national qu'international.</p> <p>Lire la charte des droits de l'internet d'APC : <a href="http://rights.apc.org/documents/APC_charter_FR.pdf" class='spip_out' rel='external'>http://rights.apc.org/documents/APC_charter_FR.pdf</a> <BR/> <a href="http://derechos.apc.org/charter.shtml" class='spip_out' rel='external'>http://derechos.apc.org/charter.shtml</a> (en espagnol)<BR/> <a href="http://rights.apc.org/charter.shtml" class='spip_out' rel='external'>http://rights.apc.org/charter.shtml</a> (en anglais)</p></div> <div class='rss_ps'><p>Source : Apc.Presse mailing list</p></div> Literacy Projet http://vecam.org/article957.html http://vecam.org/article957.html 2006-11-23T07:05:06Z text/html fr Frédéric Sultan Creative Commons Education Communautés en ligne vecam-F Monde Literacy Campaign (Litcam) et l'Institut pour la formation tout au long de la vie de l'UNESCO ont lancé, avec le soutien de Google, le site web Literacy Projet au Salon du livre de Francfort le 10 octobre dernier. Il s'agit d'un site web ressource pour les enseignants et les professionneles de l'éducation qui tire profit des dispositifs web 2.0 afin de permettre le partage de données, l'identification de personnes ou organismes ressources dans le monde entier. Le site propose des vidéos, des (...) - <a href="http://vecam.org/rubrique87.html" rel="directory">Initiatives</a> / <a href="http://vecam.org/mot17.html" rel="tag">Creative Commons</a>, <a href="http://vecam.org/mot21.html" rel="tag">Education</a>, <a href="http://vecam.org/mot23.html" rel="tag">Communautés en ligne</a>, <a href="http://vecam.org/mot49.html" rel="tag">vecam-F</a>, <a href="http://vecam.org/mot61.html" rel="tag">Monde</a> <div class='rss_texte'><p>Literacy Campaign (<a href="http://www.litcam.org/" class='spip_out' rel='external'>Litcam</a>) et l'<a href="http://www.unesco.org/education/uie" class='spip_out' rel='external'>Institut pour la formation tout au long de la vie</a> de l'UNESCO ont lancé, avec le soutien de Google, le site web <a href="http://www.google.com/literacy" class='spip_out' rel='external'>Literacy Projet</a> au Salon du livre de Francfort le 10 octobre dernier.</p> <p>Il s'agit d'un site web ressource pour les enseignants et les professionneles de l'éducation qui tire profit des dispositifs web 2.0 afin de permettre le partage de données, l'identification de personnes ou organismes ressources dans le monde entier. Le site propose des vidéos, des ouvrages, des références d'articles, une géolocalisation des acteurs, un lien vers les blogs sur ce sujet... Le site est clair et pratique. Il fonctionne en anglais et en allemand.</p> <p>Une initiative intéressante qui devra relever au moins deux défis : celui de la diversité culturelle et celui de l'accès dans les régions où la connectivité n'est pas en haut débit.</p></div>